12 oct. 2023

2-ANDALUCIA- Alicún y Huécija puis Rágol

 Après de longues recherches des CIRERA sur Cuevas del Almanzora avec la complicité de mes amies Céline et Mercedes qui indexaient ces villages, j'ai dû me rendre à l'évidence : ce n'était pas les nôtres !

Le dernier acte trouvé (en remontant l'ascendance de mon grand père par les Expedientes Matrimoniales del Diocesis de Granada) était le mariage en 1681 de José CIRERA PÉREZ (de Felix - fils de Gerónimo et de María PÉREZ) avec María AMATE TORTOSA (de Huécija).

Les recherches tous azimuts avec la cousine Éve , Augustín (un généalogiste de Granada) et Dolores (une amie d'Almería) indiquaient des CIRERA dans le secteur de Huécija et Alicún - des actes notariés, des baptêmes, des mariages peu précis - des hypothèses mais peu de preuves et de pistes réelles.

Et j'ai rencontré Rafa ! Je lui ai parlé de mes recherches et très rapidement il m'a indiqué le 1er CIRERA dans la région : Ginés CIRERA, qui avec son épouse Juana BOTELLA, est arrivé de Bocairente (Valencia) en 1573 comme "repoblador" d'Alicún. Ils sont probablement arrivés avec d'autres habitants de Bocairente que j'ai retrouvés dans les documents dont nos ancêtres AMATE. Comme à d'aurres, una "suerte" lui a été accordée, un terrain cultivable, une petite maison, quelques arbres (oliviers, muriers en général).

Ces terres avaient été confisquées aux "moriscos" qui vers 1568 avaient déclenché la guerre de las Alpujarras, en massacrant les chrétiens du secteur. A Huécija, les habitants hommes ont été mis dans une tour qui a été incendiée - deux de nos ancêtres y sont morts "martyres de Huécija" Pedro de Astorga et Cristóbal Salmerón. Ces terres ont été rattachées à la couronne espagnole qui les a distribuées à des paysans volontaires d'autres régions en échange d'un "censo" annuel.

En 1578 et en 1593, des contrôles ont été effectués et j'épluche attentivement des comptes-rendus des "Inspecciones Reales de Repobladores" - un trésor ! Je n'ai pu accéder à ceux de 1578. Pour Alicún, en 1593, on retrouve Ginés CIRERA, hélas déjá décédé. sa "suerte" est passée à Gerónimo CAMARASA lors de son mariage avec Juana BOTELLA, veuve de Ginés CIRERA.


On me dit que le couple Ginés CIRERA - Juana BOTELLA a eu 2 enfants, un décédé jeune et Juzepe - il reste à trouver son baptême (vers 1585) et son mariage - avec Isabel MIRALLES ??.

Dolores m'a trouvé, aux archives d'Almería, plusieurs baptêmes d'enfants de ce couple : Mariana, Ginés, Gerónimo, Pedro entre 1613 et 1618.

En 1622, un Juzepe CIRERA, veuf, épouse Catalina LARIO à Alicún, des enfants Ana, Francisco, Juan et Luis.

Il ne reste plus qu'à trouver tout çà dans les archives !







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27 mars 2018

8-5-2018-03 - 3 liens

En quelques semaines, 3 enregistrements où nos petits enfants nous ont surpris

Très différents, chacun dans son domaine

1 - Conférence de Dominique de VILLEPIN  devant les étudiants en Histoire de la Sorbonne
Fondation St Cyr-leçon inaugurale 3/3


un peu après la 28ème minute, un étudiant, assez décidé, l'interroge .... notre Olivier (23 1/2 ans), étudiant en master2 Histoire médiévale et contemporaine à la Sorbonne - il pense présenter un dossier d'accès à St Cyr en fin d'année - tout en étant déjà sergent dans la réserve.

2- du son seulement mais Emmanuelle (23 ans bientôt) est régisseur son et video au Théâtre National La Filature de Mulhouse depuis octobre. Elle a été interrogée le 8 mars par une radio de Mulhouse... car bien jeune elle fait un métier où les femmes sont très rares. Au début on retrouve notre grande discrète ... puis rapidement c'est une vraie professionnelle !


descendre tout en bas jusqu'à Emmanuelle




3- Sur YouTube - taper tchoukball AT- LionsDome
Le tchoukball est un sport de balle en salle très utilisé dans les écoles et lycées de Suisse et des pays de l'Est (règles strictes, respect de l'autre)

Depuis ce vendredi s(24/03/2018) e disputent les épreuves de l'Européan Ligue à Vienne (Autriche). Thomas (18 ans) y participe avec l'équipe de son lycée polonais - des Ursulines de Rybnik (Ursus-Rybnik) - il a le N°8
leur video EWC Lionsdome 24.03.2018 3

A la suite de l'Européan Ligue, Thomas a été sélectionné dans l'équipe de Pologne pour les Championnats d'Europe de Tchoukball qui ont eu lieu du 3 au 5 août 2018 près de Milan.

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22 mars 2018

4-Mes Lectures sur l'Espagne

- Les Espagnols en Oranie  - Jean Jacques JORDI - 1986
- Les Espagnols dans l'Algérois  - Jean Jacques JORDI
deux livres sur ces familles parties d'Espagne pour trouver une vie meilleure de l'autre côté de la Méditerranée
- Retrouver ses ancêtres espagnols - Archives et culture - 2012
- Histoire des Espagnols - Bartolomé BENASSAR (2 tomes)
- Al-Andalus, l'invention d'un mythe - La réalité historique de l'Espagne des Trois Cultures - Serafin Fanjul - 2017 - Editions de l'Artilleur

Andalucia
- Félix
     - APEO de Felix, Vicar y Enix - 1573 - Gabriel CARA GONZALEZ - Gabriel José CARA RODRIGUEZ - 2015
     - Felix, en torno de su vieja historia (2e edicion) - Luis LOPEZ NAVARRO - 2013
- Dalias
     - Libro de APEO Repartimiento de Dalias - El Ejido - Ponce MOLINA - 1985
- Ragol - Instincion - Illar
     - Tres pueblos de mi infancia : "Ragol, Illar, Instincion" de Miguel SALVADOR - 2002              

Comunidad Valenciana - Alicante
- Pinoso
     - Pinoso, tierra adentro - Luis DOMENECH YAÑEZ - 2008
- Monovar
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1-Mes lectures sur l'Algérie

- Un Jeune Homme d'Honneur - roman de Claude NAL - Mai 2010
- Le Serment de l'Orane - pièce de théâtre de Claude NAL - Décembre 2012
- Voyage en PiedNoirie - roman de Claude NAL - avril 2014
Trois écrits pour un même but : Ne pas oublier - Défendre la vérité -Transmettre

Les Ecrivains Algérianistes
- Louis BERTRAND -  Le sang des races
- Paul ACHARD - Salaoueches
- Maxime RASTEIL - Le calvaire des colons de 48

- Le Parler des Pieds Noirs d'Oran - Amédée MORENO
- Oran La Joyeuse - Alfred SALINAS
- Le Berger de Mostaganem - roman d'André TRIVES
- Si l'Algérie Française m'était contée - Jacqueline BEAUSSART et Roger PUERTAS  Juillet 2014
- Le soleil colonial - Maïa ALONSO
- Les conquérants du monde ancien - Pierre B. DECAILLET
- Histoire des Berbères - Bernard LUGAN
- C'était notre terre - Mathieu BELEZI (nominé au Goncourt)

La guerre d'Algérie
- Cette Haine qui ressemble à l'Amour - Jean BRUNE - 10/1961
- Un Oued pas si tranquille - Alain ZELLER - fils du Général - un jeune officier de Cherchell au combat à la frontière tunisienne en 1961
- Le Ravin Rouge - Anne CAZAL - 1994 (réédité en 2003)

- Les Voies de l'Honneur
- La Revanche
- Le Coup de Grace
de Pierre SERGENT - 1991 - 3 livres

- Le Guerre d'Algérie - Yves COURRIERE - 1968 - 4 livres
   - Les Fils de la Toussaint
   - Le temps des Léopards
   - L'heure des Colonels
   - Les feux du désespoir

- Dossiers secrets de l'Algérie - 2 tomes - Claude PAILLAT-1961
- Ils ont vécu dans l'Algérie en guerre - 4/2012 - Raphaël DELPARD
- Fors l'Honneur - Claude MICHELETTI-2003
  La guérilla OAS à Oran en 1961/1962
- Oran 1961-1962 - Journal d'un prêtre en Algérie - Michel de LAPARRE

Les massacres d'Oran - 5 juillet 1962
- L'Agonie d'Oran - 3  tomes - 1985-1996-2001 - Geneviève de Ternant - recueil de témoignages sur le massacre oublié du 5 juillet 1962 à Oran
- Un Silence d'Etat - Les disparus civils européens de la guerre d'Algérie - Jean Jacques JORDI - 10/2011 - il a eu accès à des archives classées "Secret d'Etat" sur ce problème qui touche tous les Pieds Noirs.
- Oran -5 juillet 1962 - Un massacre oublié - Guillaume ZELLER - 03/2012 - sur le même théme - par un neveu du Général

- Ma Colère - Gaston-Jean MIANE
- Camus ou la survivance des Pieds Noirs - de José YVARS - prix du Salon du Livre d'Antibes 2014
- Ce que le jour doit à la nuit - Yasmina KHADRA
- Pieds-Noirs, les bernés de l'Histoire - Alain VINCENOT - 2014
- L'impossible paix en Méditerranée - Boris CYRULNIK et Boualam SANSAL - 2017
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3-Mes Lectures sur le Limousin et le Sud-Ouest

- Romans de Claude MICHELET - pour s'imprégner de la Corrèze
      - Des Grives aux loups
      - Quatre saisons en Limousin
      - Pour un arpent de terre
      - Les promesses du ciel et de la terre
      - La terre qui demeure
      - Quelque part dans le monde
      - Quand le jour viendra
      - En attendant minuit
- Michel PEYRAMAURE - Un été rose en Corrèze

- Histoire de la Manufacture d'Armes de Tulle de 1690 à 1970 - Yves CAYRE - 1970 -
Michel PAUPHILLE, notre ancêtre, est à l'origine de la création de la M.A.T.
L'entreprise florissante, fut "royalisée" par Louis XIV. Michel PAUPHILLE fut tout de même nommé directeur.
Cet ouvrage, offert par la Manufacture, nous a permis d'en savoir plus sur lui et sur la vie de cette belle entreprise

- Les noms de famille de Haute Vienne - éditions Archives et Culture - 2006

- Moulins à papier d'Angoumois, Périgord et Limousin au XVIIème siècle - Gabriel DELÂGE - Librairie Bruno Sepulchre - Paris VIème - 1991

- Protestants de l'Angoumois au temps des persécutions - Gabriel DELÂGE - Librairie Bruno Sepulchre - Paris VIème - 1985

- Mémoires de Léonard, ancien garçon maçon - Martin NADAUD -édition établie et commentée par Maurice AGULHON - Hachette -1977
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0-Mes Lectures sur l'Histoire et la Généalogie



- Comment vivaient nos ancêtres - Jean-Louis BEAUCARNOT (1989)

- Les Actes Notariés - Jean DELORME - 2006



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27 sept. 2017

1-Bretagne-Allemagne




en construction !

Les ascendants maternels de François, Olivier, Sébastien, Xavier et Claire ont vécu dans les anciens territoires de l'empire austro-hongrois (BENDA pour le père de Karine) et en Bretagne (BERTHELé-LELAY pour sa mère)

- les BENDA ont vécu en Allemagne de l'Ouest après la guerre de 1939-1945.
Originaires de Bohème (actuelle République Tchèque) ils faisaient partie des Sudètes. Ils ont été expulsés de leur lieu de vie en 1945, en ayant eu juste le temps de prendre quelques affaires. Un long voyage en train les a amenés à Kassel.
Dans les générations précédentes, les BENDA, voyageurs, se sont mariés dans d'autres pays de l'empire austro-hongrois - en Hongrie, en Slovénie (Lubljana), en Bosnie (Banja Luka).

- les BERTHELÉ,  et les familles liées, sont tous bretons, originaires du Finistère (29). Il est assez exceptionnel qu'une ascendance soit ainsi concentrée sur un seul département.
Les recherches, jusqu'en 1650 environ, n'ont jusqu'à présent amené aucun marin.
Forgerons à l'Arsenal de Brest pour les plus récents, leurs ancêtres étaient tous agriculteurs aux alentours de Landerneau.
- Dans l'ascendance LE LAY, la branche LE COROLLER, alliée aux KERGOURNADEC'H, ouvre des horizons bien différents :
       - vers les familles CORNOUAILLE (DE) et L'ILE DE BRETAGNE (DE) - à étudier
       - par les LEON (DE) vers Robert de DREUX, fils de Louis VI de FRANCE (5ème roi capétien) et d'Adélaïde de SAVOIE

voir l'arbre d'ascendance sur généanet 
............
et ... vers un cousinage amusant et bien lointain (à la 29ème génération) de François, Olivier, Sébastien, Xavier et Claire avec leurs cousines germaines Emmanuelle et Fabienne (dont l'ancêtre est Pierre de FRANCE, aussi fils de Louis VI et d'Adélaïde de SAVOIE)



Le plus ancien LE COROLLER trouvé est Eon LE CORROLER né vers 1310. Il est probablement le Eon LE COROLLER, bourgeois de Morlaix, qui, vint pieds nus, la corde au cou, s'offrir à Jean IV, Duc de Bretagne, donnant sa vie pour sauver celle de 50 de ses compatriotes condamnés comme coupables de la révolte de la ville en 1374. (sources : Généanet-Louis BRUN et Histoire de Morlaix)



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3-Savoie-Piémont-Bourbonnais

L'ascendance maternelle d'Emmanuelle et de Fabienne nous amène en Savoie et Piémont, et en Bourbonnais.
Leur maman, Cécile GROLLA, est fille de Jean Marc GROLLA et de Madeleine GUÉLIN.

- Les GROLLA sont piémontais, installés en Savoie, du côté de Chambéry à la fin du 19ème siècle.
Hugues GROLLA a épousé France ARRIORDAZ.

- Les ARRIORDAZ, et leurs ascendants, sont savoyards de la vallée de la Maurienne (Argentine).
Mais certains ancêtres au 18ème siècle sont aussi piémontais, de Netro.

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- Les GUÉLIN et les RICHARD sont du Bourbonnais, le coeur de la France - l'Allier, la Nièvre, la Saône et Loire.
René GUÉLIN avait travaillé une belle généalogie. Il m'avait autorisée, puisque c'était aussi celle de nos petites filles communes, à l'ajouter aux données Généanet des arbres de mes petits enfants.
René GUÉLIN a épousé Marie Louise RICHARD.
Internet aidant, les trouvailles ont été intéressantes.

Les GUÉLIN sont, autant que l'on puisse les "remonter", de la région de Moulins (03)

L'ascendance directe RICHARD n'a pas été travaillée. Mais ils sont liés aux TALON (03) aux LACOMBE (71), aux NÉANT (71), aux RAMAGE, aux MONTAGNE, aux SAUTEREL (71).

Anne de CHARGÈRES, épouse de César SAUTEREL, née dans la Nièvre-58- (1690-1758) fait entrer cette ascendance dans la noblesse... et remonte allègrement à Philippe de COURTHENAY (empereur de Constantinople), Louis VI (Roi de France), Aliénor d'AQUITAINE, Guillaume le Conquérant  ... CHARLEMAGNE et tant d'autres !

et depuis ce soir cette ascendance débouche sur un cousinage inattendu !
François, Olivier, Sébastien, Xavier et Claire NAL ont comme ancêtre Louis VI (Roi de France) x Adélaïde de SAVOIE, comme leurs cousines germaines Emmanuelle et Fabienne NAL ... un autre cousinage 29 générations plus haut !



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26 déc. 2016

Essai

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
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23 nov. 2016

4-Tunisie-Bretagne-Languedoc-Espagne

L'ascendance maternelle de Benjamin et de Ludovic est variée.
Leur maman Cécile KRUGER est fille de Daniel KRUGER et de Jacqueline PECH.

- Les KRUGER se sont installés à Béziers (34) à la fin du Protectorat Français en Tunisie en 1954.
Gustave KRUGER, né à Paris, mais originaire de Lorraine, a été envoyé à Tunis comme fonctionnaire au début du 20ème siècle.
Il y a épousé Marie Laurence BEAUVAIS en 1910.

- Les BEAUVAIS sont bretons - Finistère et Ille et Vilaine
Marie Laurence est née à Lambézellec-Brest (29) comme son père. Les précédents venaient de Morlaix ou de villages du Finistère, d'autres de Rennes (35).
On retrouve ainsi à Lambézellec-Brest des ascendants de nos deux belles filles Karine et Cécile.
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- Les PECH sont de purs languedociens. Installés à Corneilhan (34) depuis plusieurs générations, ils sont venus à Cers (34) au début du 20ème siècle. Arthur PECH et son fils Raoul ont été maires du village.
Raoul PECH, le grand père de Cécile, avait épousé Marie ALBIOL.

- Les ALBIOL sont venus d'Espagne. Hermenegildo ALBIOL et son épouse Vicenta VILLALONGA sont nés à Cuevas de Vinroma, joli village de la province de Castellon (Comunidad Valenciana).
Installés à Cers vers 1920, leur fille Marie y est née.
La recherche parait impossible à Cuevas de Vinroma (ou Coves en valencien). Pendant la guerre civile espagnole (1936-1939), l'église et la mairie ont été détruites, lors de la grande bataille de Teruel. Toutes les archives ont disparu.
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2-Pologne

L'Ascendance maternelle de Joseph, Thomas, Matthieu, Philippe et Laure est totalement polonaise.

Leur maman Grażyna JAWORSKA est fille de Tadeucz JAWORSKI et de Zofia SIDOR.

Leurs grands parents sont tous deux nés dans la région de Lublin, près de la frontière ukrainienne, à Grodek et Tysmienica.

La recherche sera difficile car les guerres et occupations successives subies par la Pologne n'ont pas été favorables aux archives !
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12 nov. 2016

1-2-Comunidad Valenciana-Province d'Alicante-Monovar-Les OCHOA

Los Ochoa de Monovar (Alicante), hidalgos por vizcainía
originaires de la ville de Guernica (province de Biscaya-Pays Basque espagnol)

En basque, le nom de la province autonome est Euskal Autonomia Erkidegoa et en espagnol il s'agit de la Comunidad Autónoma del País Vasco.

http://noblezamonovera.blogspot.fr/2013/10/los-ochoa-de-monovar-alicante-hidalgos.html

Lecture très intéressante de ce site (à aller voir- en espagnol - si vous bloquez j'en ferai la traduction ! ) dont je n'emprunte pour l'instant,  que l'illustration

arbol genealogico de pureza de sangre desde Pedro OCHOA de AULESTIA en la villa de Guernicaiz del Señorio de Viscaya en el año 1550 a Bernardo OCHOA en la villa de Sax-1750



Très joli document établi par la famille OCHOA pour prouver "la pureza de sangre" (prouver qu'ils sont de sang pur - exempts de sang juif, gitan ou arabe) .... si quelqu'un arrive à le lire ... j'en serai RAVIE !

Vous avez du voir dans l'article sur les VERDU, que vous descendez bien de ces OCHOA ... mais par les filles .... ! en Espagne, les titres de noblesse ne se transmettent que par les garçons (los varones)
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1-1-Comunidad Valenciana-Province d'Alicante-Monovar-Les VERDU

Les VERDU, famille maternelle d'Antoinette MAS, sont partis de Pinoso (longtemps dépendance de Monovar) entre 1843 et 1859. Ils se sont installés à Oran.
La recherche sur cette famille, et sur l'Espagne, n'est pas facile.
En 2002, Jean Marc RODRIGUEZ m'avait transmis de précieux renseignements sur ce couple Juan VERDU x Ana BOLINCHES, dont son épouse descendait aussi. Les documents indiquaient une origine à Monovar.
Les essais de contact par courrier avec la paroisse San Pedro Apostol de Pinoso ont été infructueux et il n'y avait pas de dates précises pour s'adresser à celle de Monovar.

L'association Raices Reino de Valencia a fait un superbe travail de numérisation des registres paroissiaux de cette région, avec l'accord des évéchés sous patronage de l'UNESCO. Ses adhérents ont ensuite indexé les registres. Ainsi peu à peu apparaissent sur le web de précieux renseignements.

Cette semaine (11/2016) une alerte Généanet m'annonce des nouvelles sur le couple Andres VERDU POVEDA x Trinitaria SANZ BROTONS (les parents de votre Juan VERDU - 1er oranais). Données conséquentes mises sur Généanet par des passionnés espagnols ou d'origine espagnole..

4 générations de VERDU jusqu'en 1610 environ toujours à Monovar
Pour l'instant seulement des noms et des dates ... il va falloir les resituer dans l'environnement de l'époque, mais déjà notre visite de Monovar en juin 2016 les replace dans leur milieu.

Les données sur les ascendants de Trinitaria SANZ BROTONS sont très intéressantes
J'avais déjà trouvé quelques pistes sur le site http://percevales.blogspot.com/
Les renseignements de Généanet nous font remonter 6 générations plus haut.
Par Trinitaria BROTONS MIRA, Josefa Maria MIRA OCHOA, Magdalena OCHOA BROTONS, Juan OCHOA RICO  nous arrivons à Juan OCHOA SEVILLA  (et à ses parents Domingo OCHOA et Isabel SEVILLA) et à son histoire sur le blog de la noblesse de Monovar (débuté en 2013) où est seulement développée la partie qui concerne les OCHOA
Los Ochoa de Monovar (Alicante), hidalgos por vizcainía
http://noblezamonovera.blogspot.fr/2013/10/los-ochoa-de-monovar-alicante-hidalgos.html
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20 oct. 2016

2-Saint Mathieu-Les GIRY

Mon arrière grand mère Catherine Marguerite GIRY est née en 1868 à Gorre (87) mais son père était originaire de St Mathieu.
Joli village que nous avons découvert en 2010 avec un sympathique repas dans un bar amusant, la découverte du livre d'un ami oranais à la librairie du village et les vaches limousines très accueillantes au hameau de la Forge !
Ses parents travaillaient alors au Moulin de "Chez Raymondeau".

Jean GIRY (1843-1905), né à St Mathieu, avait épousé en 1864 Marie BUISSON (1846-1910) née à Champagnac, ... nièce d'autre Marie BUISSON (1818-1895) x Jean NADAUD (1814-1885) dont le fils Jean NADAUD (1860-1950) a épousé Catherine Marguerite GIRY (1868-1940) ... mes arrière grands parents étaient donc parents. Leur acte de mariage religieux indique d'ailleurs une dispense pour consanguinité dont je n'ai pu obtenir copie ... l'évéché de Limoges a brûlé avec ses archives en 1943 à la suite d'un bombardement allemand.

Sur les 2 siècles précédents, les GIRY sont à St Mathieu.
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1-Champagnac la Rivière - Les NADAUD

Les NADAUD ont quitté la Haute Vienne vers 1884. Ils ont suivi la mode de l'époque, la Révolution Industrielle leur a fait quitter le travail de la terre pour des postes en usine.
Mon arrière grand père, Jean NADAUD (1860-1950), est le dernier des nôtres né en Haute Vienne, au Moulin de Cros à Champsac.
Sa famille est originaire de Champagnac la Rivière, le village le plus proche de Champsac.
Il semble avoir suivi la famille de son épouse, déjà installée en Charente. Il a travaillé d'abord dans la papeterie à Magnac sur Touvre puis à la fonderie à Ruelle sur Touvre en Charente.

Les NADAUD, très nombreux à Champagnac la Rivière,/ et dans toute la région, étaient agriculteurs.

Le plus ancien trouvé est Léonard NADAUD, né vers 1667, qui était métayer à Tamisac, un hameau de Champagnac que nous avons visité en 2010.

La recherche a été difficile, à cause de nombreuses erreurs sur les actes. Au XIXème siècle, nos NADAUD étaient tous illettrés et incapables de corriger les anomalies.

Les parents de mon arrière grand père, Jean NADAUD (1814-1885) et Marie BUISSON (1818-1895) se sont mariés à Champagnac en 1836.
La recherche normale a commencé par la quête de leur acte de décès, en général bien documenté à cette période, puisqu'il doit comporter la date de naissance (ou l'âge), le lieu de naissance et le nom des parents.

Pour eux deux; les erreurs ont été importantes
- pour Jean NADAUD,
Décès-Oradour sur Vayres-26/04/1885 acte 30 page 9/145
Du 26 avril 1885 à 2 heures du soir - Acte de décès de Jean NADAUD, âgé de 72 ans , cultivateur, demeurant au village de La Tamanie, en cette commune, époux de Marie BUISSON, cultivatrice, domiciliée au même lieu, fils de feu Martial NADAUD et de feue Marie BARBIER. Le dit Jean NADAUD, né dans la commune de Champagnac, est décédé aujourd'hui à 3 heures du matin, en sondomicile à La Tamanie. Sur la déclaration faite par Martial NADAUD, âgé de 47 ans, cultivateur, demeurant au sus dit village de La Tamanie, fils du décédé, et Jean RATINAUD, âgé de 52 ans, tailleur d'habits, demeurant au chef lieu de la commune de Champsac, neveu du défunt.
Constaté suivant la loi, par nous, Léon ROCHE, maire, officier de l'état civil de la commune d'Oradour sur Vayres (Haute Vienne) après lecture du présent acte, les témoins ont déclaré ne savoir signé
- 72 ans - cela indique une naissance en 1813 ... il y a bien un Jean NADAU né le 1/5/1813 ... il décède à 18 mois ! c'est un jeune frère. La bonne naissance est du 19/3/1814.
- Les parents Martial NADAUD et Marie BARBIER (indiqués aussi sur cet acte de 1813) n'existent pas. Ils sont en réalité Antoine (ou Jean quelquefois) NADAUD et Léonarde BARBIER, retrouvés en relevant tous les actes de leurs nombreux enfants et en analysant les témoins du décès de 1885.

- Pour Marie BUISSON
Son acte de décès en 1895 indique qu'elle est fille de Jean BUISSON et Marie DUFOUR ?? cette double erreur nous a bloqué pendant des années. Elle est en réalité fille de Pierre BUISSON et de Léonarde BESSON (dont le beau père - 2ème mari de sa mère - est un DUFOUR François)

Une recherche linéaire toute simple n'aurait pas la même saveur ! Ces difficultés font tout le charme de l'enquête généalogique !
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19 oct. 2016

2-Andalucia-Cuevas del Almanzora y el "Monstruo de CIRERA"

En juin 2016, nous sommes passés tout près de Cuevas del Almanzora, puisque nous avons pris l'autoroute littorale à Vera. Nous ne savions pas que des CIRERA y avaient vécu.
Un correspondant nous a indiqué que deux CIRERA Francisco et Vicente figurent sur la liste des "repobladores" du village vers 1560. Ils sont originaires d'Onteniente (Alicante).
Aujourd'hui, leurs descendants ne semblent plus présents sur place mais des rues portent le nom "la Rambla de CIRERA", el "Camino de CIRERA"




Mise sur la piste, "la cousine Eve" nous a déniché, sur Facebook,  el "Monstruo de CIRERA"



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2-Andalucia-Félix - El marchal de la Hoya de CIRERA

Nous étions à Félix en juin 2016, visite rapide d'un très joli "pueblo". La mairie nous avait offert quelques documents trop rapidement consultés sur place.
Au retour, découverte sur le "callejero" de Félix de deux mots "Hoya CIRERA"
Un plan détaillé vient de nous arriver (merci cousine Eve !).
Ce lieu CIRERA est perdu dans la Sierra de Gador (en Andalousie)
entre Félix et Huécija, deux endroits où nos CIRERA ont vécu au 17 et 18ème siècles.

D'où venaient-ils ? Les relevés de mariage récupérés (1681 pour nos plus anciens : Joseph CIRERA de Félix avec Ana AMATE de Huecija) ne nous le disent pas. Ils ne sont pas indiqués sur les listes des "repobladores" de 1573 après l'expulsion des moriscos.
Il est souvent dit que dès 1492 Isabel la Catholique avait expulsé les arabes d'Espagne. En 1570, ils étaient encore là et mécontents de leur sort, ils avaient déclenché "la guerre de Las Alpujarras" après avoir massacré les chrétiens du coin, tout en s'alliant avec les corsaires barbaresques qui venaient razzier des esclaves sur la côte méditerranéenne proche. La dernière bataille de cette guerre fut celle de Félix. Les moriscos survivants furent expulsés vers le Maghreb et les terres confisquées confiées à des "repobladores" venus de toute l'Espagne.
Un correspondant nous a affirmé que deux CIRERA Francisco et Vicente (nés à Onteniente-Alicante) faisaient partie, vers 1560,  des "repobladores" de Cuevas del Almanzora, à 90 km environ de Félix ... recherche à approfondir !


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28 août 2014

3-1-Le Blason des CIRERA

CIRERA - France - Ses origines
Il y eut des "maisons" de ce patronyme à Perpignan (France) et dans le lieu de "Sant Guim de la Plana", Cervera, province de Lerida (Espagne). Ils eurent des liens avec des familles catalanes distinguées.
Les armes de la maison de Perpignan sont :
- d'or avec 8 rouelles de sable, disposées en 2 rangées. On les trouve dans une sépulture des SACIRERA, qui date du XIVème siècle et qui est conservée au Musée Archéologique Provincial de Barcelone.
Les armes de la maison de "Sant Guim de la Plana" sont :
- d'argent avec 8 rouelles d'azur, aussi disposées en 2 rangées.
J.R.VILA, DOMENECH et ROURA attribuent aux SACIRERA de cette dernière maison ce nouveau blason.
Symbologie et Héraldique

traduction à poursuivre avec des notions d'héraldique à acquérir !

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27 août 2014

3-2-Jaume CIRERA

Jaume Cirera (première moitié du 15ème siècle) était un peintre gothique catalan, disciple et collaborateur de Jaume Cabrera . Au cours du deuxième quart du XVe siècle, il a été associé à Bernat Despuig et ils ont travaillé ensemble. Son oeuvre "Lutte entre les anges et les démons" est actuellement exposée au Musée national d'art de Catalogne


Rétable de San Pedro et San Miguel Archange ( 1432 - 1433 ) de l'église de
Sant Miguel de la Seo de Urgel, peint par Jaume Cirera en collaboration
avec Bernat Despuig (source Wikipédia)
On connait aussi de lui :
- Le Rétable de San Pedro (1450-1451) pour l'ensemble monumental des églises de San Pedro de Tarrassa, ecollaboration avec Guillem Talarn
- Le Rétable de San Juan Bautista et San Miguel (1ère moitié du XVème siècle), à San Lorenzo de Morunys, en collaboration avec Bernat Despuig.


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